Comme au plus profond de moi-même
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Comme au plus profond de moi-même
Noir.
Il était noir. Il faisait noir. Son élément. Ici, il devient transparent.
Cela en aurait réjouis plus d'un de jouer à "Bouh-Que-C'est-Moi". Mais pas Braquenoard. Il n'avait qu'une peur : qu'un blanc lui tombe sur la tête. Qu'on l'écrase de tout son poids parce qu'on ne l'aurait pas vu, lui, la star internationale du Porno-Gonzo-Géronto-Zoo-Head Fucking.
Alors, telle une pucelle qui verrait pour la première fois le loup, il avait pris ses précautions. La fouille discrète de quelques sacs lui avait fourni son plus précieux ami, un objet qui, en d'autres occasions, aurait été bien lubrique.
Quand l'obscurité se fit totale, quand l'ombre déposa sa main sur son épaule et sur âme, le nain sortit de sa poche son nouvel ami : une bougie. Ce bout de cire, il le laissa prendre feu jusqu'à ce que les gouttes glissent le long du manche.
Et c'est à cet instant précis, quand le liquide vacille, hésite, qu'il se déposa la bougie sur le haut du crane.
Il colle à la va-vite ses cheveux à son nouvel ami, le laissant tanguer mais jamais tomber.
Le voilà enfin notre Braquenoard, tel que nous le connaissons dans son élément naturel, de nouveau fier de son membre et heureux de vivre par celui-ci.
"Hu hu hu... Bwaqunoa'd peut plus se pe'dwe maintenant ! *
Mais Bwaquenoa'd awe'tir blancs : ah pas bon de péter devant la bougie. Guhuhuhhuhu.... sinon... BOUM ! Hu hu hu..."
Il était noir. Il faisait noir. Son élément. Ici, il devient transparent.
Cela en aurait réjouis plus d'un de jouer à "Bouh-Que-C'est-Moi". Mais pas Braquenoard. Il n'avait qu'une peur : qu'un blanc lui tombe sur la tête. Qu'on l'écrase de tout son poids parce qu'on ne l'aurait pas vu, lui, la star internationale du Porno-Gonzo-Géronto-Zoo-Head Fucking.
Alors, telle une pucelle qui verrait pour la première fois le loup, il avait pris ses précautions. La fouille discrète de quelques sacs lui avait fourni son plus précieux ami, un objet qui, en d'autres occasions, aurait été bien lubrique.
Quand l'obscurité se fit totale, quand l'ombre déposa sa main sur son épaule et sur âme, le nain sortit de sa poche son nouvel ami : une bougie. Ce bout de cire, il le laissa prendre feu jusqu'à ce que les gouttes glissent le long du manche.
Et c'est à cet instant précis, quand le liquide vacille, hésite, qu'il se déposa la bougie sur le haut du crane.
Il colle à la va-vite ses cheveux à son nouvel ami, le laissant tanguer mais jamais tomber.
Le voilà enfin notre Braquenoard, tel que nous le connaissons dans son élément naturel, de nouveau fier de son membre et heureux de vivre par celui-ci.
"Hu hu hu... Bwaqunoa'd peut plus se pe'dwe maintenant ! *
Mais Bwaquenoa'd awe'tir blancs : ah pas bon de péter devant la bougie. Guhuhuhhuhu.... sinon... BOUM ! Hu hu hu..."
Braquenoard- Messages : 10
Date d'inscription : 20/10/2009
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