A trois, on est les rois
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A trois, on est les rois
Alors que le troupeau avance, voilà que la dingue s'éclipse encore une fois...allez savoir, celle là a l'air de posséder le don de renifler l'humain à des distances incongrues (chose étrange quand on connaît sa misanthropie détestable).
Quand la furie revient, c'est accompagnée d'une autre comparse de la gente féminine, ballotée par les cheveux à la manière d'un poireau mal dégrossi. Une parfaite inconnue, comme tant d'autres avant elle, victime des serres carnassières de la Mante. Les joyeux aventuriers traînent encore autour de la marmite, avec, en tête, la nature vierge à portée de jambes, l'Eldorado peut être, loin des lugubres et glaciales entrailles de la Terre. Ou bien avec des culs, des nichons, et des éjaculations intra-buccal, selon votre bon goût...
D'un clin d'oeil à Jango, l'entomophage l'entraîne à l'écart, sa petite marionnette s'époumonant à mesure que le cuir chevelu semble se décoller du crâne. D'un geste las, la Déesse Purulente jette sa proie dans les bras du vieux gredin, l'objet laissant apercevoir, en une grimace de peur, la bouche ensanglantée des doux lendemains de violence conjugale.
Avant de refiler le poisson qui s'est jeté dans mes filets à l'extra-mes fesses, offrons lui un peu de réconfort... Je me sens moi même un peu...stressée...
(Hrp: message envoyé aussi à Zina, rapport à la capture et au viol)
Quand la furie revient, c'est accompagnée d'une autre comparse de la gente féminine, ballotée par les cheveux à la manière d'un poireau mal dégrossi. Une parfaite inconnue, comme tant d'autres avant elle, victime des serres carnassières de la Mante. Les joyeux aventuriers traînent encore autour de la marmite, avec, en tête, la nature vierge à portée de jambes, l'Eldorado peut être, loin des lugubres et glaciales entrailles de la Terre. Ou bien avec des culs, des nichons, et des éjaculations intra-buccal, selon votre bon goût...
D'un clin d'oeil à Jango, l'entomophage l'entraîne à l'écart, sa petite marionnette s'époumonant à mesure que le cuir chevelu semble se décoller du crâne. D'un geste las, la Déesse Purulente jette sa proie dans les bras du vieux gredin, l'objet laissant apercevoir, en une grimace de peur, la bouche ensanglantée des doux lendemains de violence conjugale.
Avant de refiler le poisson qui s'est jeté dans mes filets à l'extra-mes fesses, offrons lui un peu de réconfort... Je me sens moi même un peu...stressée...
(Hrp: message envoyé aussi à Zina, rapport à la capture et au viol)
Dernière édition par Venus Flytrap le Jeu 7 Jan - 13:29, édité 1 fois
Venus Flytrap- Messages : 167
Date d'inscription : 26/09/2009
Re: A trois, on est les rois
Inespéré... Pour le vieil enculé, c'est inespéré. Avec toutes les saloperies qu'il a choppées en besognant la Venus et la Flytrap à tour de rôle, peut-être que s'il trempe sa bite dans une quelconque muqueuse de cette fille là, elle en ressortira nettoyée? Vierge de toute trace de souillure?? Peut-être son gland ne suintera-t-il plus le pus, et les bêtes s'enfuiront-elles?
Forcément, pour tenir ce genre de raisonnement médical, il faut avoir un grain... Et c'est bien ce qu'a le vieux : un grain. Alors quand la Flytrap lui jette la détenue dans les bras, il tente d'expliquer à la malheureuse ses théories... Il tente de les lui enfoncer dans le crâne, à coups de baignes fantastiques.
*VLANG ! BANG !*
Les coups à décrocher la tête d'un éléphant pleuvent, sur la gueule de la malheureuse... Flytrap et Peste le savent, et en ont fait les frais : impossible pour le vieux salopard de passer un rapport tendrement sexuel normal, sans coups ni violence... Ca doit être maladif. Apeurée, la pauvrette essaie de se protéger le visage, quand le shérif la balance violemment au sol, aux pieds de la Flytrap, et commence à déboutonner son futal.
"Commencez donc à lui ess'pliquer, miss Flytrap..."
Essouflé par les coups donnés, l'ivrogne violent sort maintenant sa queue, rigide comme un manche de pioche, qu'il commence à masturber comme un demeuré, devant les deux donzelles.
"Allez-y, collez sa bouche sur ma bite, tandis qu'vous z'y enfonçons des objets dans l'cul... Hurk hurk hurk..."
Forcément, pour tenir ce genre de raisonnement médical, il faut avoir un grain... Et c'est bien ce qu'a le vieux : un grain. Alors quand la Flytrap lui jette la détenue dans les bras, il tente d'expliquer à la malheureuse ses théories... Il tente de les lui enfoncer dans le crâne, à coups de baignes fantastiques.
*VLANG ! BANG !*
Les coups à décrocher la tête d'un éléphant pleuvent, sur la gueule de la malheureuse... Flytrap et Peste le savent, et en ont fait les frais : impossible pour le vieux salopard de passer un rapport tendrement sexuel normal, sans coups ni violence... Ca doit être maladif. Apeurée, la pauvrette essaie de se protéger le visage, quand le shérif la balance violemment au sol, aux pieds de la Flytrap, et commence à déboutonner son futal.
"Commencez donc à lui ess'pliquer, miss Flytrap..."
Essouflé par les coups donnés, l'ivrogne violent sort maintenant sa queue, rigide comme un manche de pioche, qu'il commence à masturber comme un demeuré, devant les deux donzelles.
"Allez-y, collez sa bouche sur ma bite, tandis qu'vous z'y enfonçons des objets dans l'cul... Hurk hurk hurk..."
Jango- Messages : 132
Date d'inscription : 26/09/2009
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